L’isothérapie

Cette méthode utilisée depuis la plus haute antiquité a été revisitée en 1833 par Guillaume Lux, un médecin-vétérinaire allemand qui l’a utilisée pour traiter et guérir des moutons du charbon et des chevaux de la morve. Dans son cas on parle plutôt d’organothérapie.

L’isothérapie est l’utilisation de tissus ou d’organes qui peuvent, une fois dilués et dynamisés, agir à titre préventif en favorisant la formation d’anticorps protecteurs mais aussi à titre curatif. Par exemple, lors de calculs rénaux ou de maladies virales (réputées inguérissables par la médecine classique.), l’isothérapie peut se révéler très intéressante.

Dans notre cabinet, nous privilégions une approche systémique des maladies, une vision globale du malade. L’approche par des médecines complémentaires vise au rétablissement de l’homeostasie soit le retour à l’équilibre des fonctions physiologiques du corps, à la bonne santé en d’autres termes.

Pour cela l’isothérapie est une méthode de choix lorsqu’il y a dysfonction voir dégénération des systèmes physiologiques surtout lorsqu’ils sont de types allergiques. Il n’y a plus guère que la médecine académique pour traiter une gingivite,  une parodontose en ôtant toutes les dents... comme si les causes du problème ne se trouvaient que dans la bouche...

Dans le traitement de la PIF (péritonite infectieuse féline) , de calculs rénaux, de certains exémas, d’otite chroniques, de papillomes, le recours à l’isothérapie dans le cadre d’une approche systémique donne des résultats probants. Surtout si en plus de l’isotherapie nous utilisons aussi l’homéopathie pour chasser les pervers, dissoudre les plénitudes et la phytothérapie, les sels de Schüssler ou l’homéopathie pour relancer les fonctions et tonifier les organismes.